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ESPRIT 14 mars 2015 Cet article s’écrit en deux temps, la première partie avec l’aide
de quelques amis pour collecter les éléments extérieurs à ce qui concerne à
proprement parler le logement social. La seconde partie sera faite avec vos encouragements (ou vos
découragements) un peu plus tard. Avec une orientation plus proche de la
problématique du logement social actuel. APARTHEID / SENTINELLE / DJIHAD Ce billet est parti d’un dispositif que je qualifierai « d’enfumage » et qui vise à monter
en épingle des faits bien voyants pour en occulter de bien plus nocifs : « Apartheid »
dans les cités, « Sentinelle »
dans (presque) toute la France, « Djihad »
individuel… sont venus en moins de trois mois recouvrir des panneaux qui ne
sont pas tous électoraux. Qu’avons-nous derrière
ces mots et ces panneaux ? Evitons surtout de
trébucher sur les uns pour tomber dans les autres…. L’approche des
échéances électorales semble brouiller l’écoute au sommet de l’Etat. On ne parle plus que d’esprit. « L’esprit du 11 janvier » en particulier. Pendant ce temps la vie continue. Implacable. Que
vivons-nous ? - Un affichage militaro-policier remarquable en
centre-ville. Remarquable par le volume de bleu et de vert étalé sur le
terrain. Pour les résultats, on les fabriquera dans les huit jours,
soyons patients… - Un raffinement remarquable de petits mots, de petites
phrases. Comme autant de brindilles pour entretenir la flamme. Pas celle de la résistance, mais celle du « 11
janvier » bien sûr. Un de ces petits mots est particulièrement curieux. C’est le mot « apartheid ». Surtout appliqué aux Zones Urbaines Sensibles et aux Zones de
Sécurité Prioritaire. Ce renvoi dans un inconscient collectif à une Afrique du Sud
fantasmée est sublime. Il place son auteur dans la lignée des héritiers de Nelson
(Pas l’Amiral, l’autre…) Afrique fantasmée car l’arc-en-ciel a disparu, si tant est
qu’il ait jamais pu apparaître au-dessus de Sowetho. Quand l’apartheid n’est
pas…à rebours, localement. Sowetho, là il vaut mieux ne pas trop en parler. On
risquerait d’y accoler le mot « ghetto ». Or ce mot là, il est – de facto – interdit de l’utiliser
sauf si on est issu d’une communauté. C’est un mot bien plus dangereux que
« apartheid ». Evoquer les « méchants (riches) blancs » surtout
en sous-entendu, est beaucoup plus facile que « les heures les plus
sombres de notre histoire » avec une voix vibrante d’émotion. Mais le fantasme ne s’applique pas qu’à l’Afrique du Sud du
XXe siècle finissant. Il s’applique, hélas et surtout, à la réalité du terrain en
France et en mars 2015. A quoi rime
maintenant ce déploiement de forces ? Il rime à rassurer psychologiquement les commerçants et
riverains du centre-ville. Comme dans la plupart
des capitales du tiers-monde, d’ailleurs. Là-bas aussi, c’est pareil. On sécurise les abords les palais officiels, les ambassades,
les grands commerces… Dans tous ces pays l’Armée patrouille à égalité avec la
Police au plus près du pouvoir. La « Garde Présidentielle » est bien souvent une
unité militaire d’élite. Loin de moi l’idée de faire un parallèle avec le gardiennage
du Parlement par la Légion Etrangère… D’ailleurs en France nous n’avons pas de « Garde
Présidentielle » nous avons une « Garde Républicaine », à
cheval. C’est très différent. Quand aux gardes, ils poussent l’esprit de corps jusqu’à
porter les croissants au petit déjeuner. C’est dire s’il y a une spécificité
Française dans la sécurité rapprochée de nos élites, voire de nos étoiles. Au
saut du lit, nous sommes les meilleurs. Malheureusement, ces plans de sécurité militaro-policière
visiblement renforcés en sentinelles et gardiens de la paix au coin de la rue,
ne sont pas ceux qui donnent de vrais résultats pour démonter des réseaux
terroristes armés. Ils n’ont d’ailleurs jamais eu cette ambition. Ils sont là
pour rassurer. Oui, pour rassurer, tout simplement : « Nous tenons la place centrale, tout
est calme, dormez braves gens. » Je ne mettrai
certainement pas en cause les exécutants. Ils font ce qui leur est demandé avec rigueur et conscience.
Ils le font avec un peu de fatigue, aussi, car ces postures de spectacle grand
public n’ont jamais été imaginées pour garder les figurants en scène aussi
longtemps. Notez bien que l’on va continuer dans cette voie. C’est-à-dire, clairement, que l’on veut au plus haut niveau
maintenir des milliers d’hommes dans ce rôle, au détriment de leur rôle
opérationnel réel, et au détriment d’autres intérêts vitaux de la France. Des
intérêts peut-être bien plus importants, malheureusement. Sans réel débat, sans réel vote, il a été décidé qu’une
grande part des armées françaises serait désormais consacrée au spectacle de la
sécurité, dans un « lien armées-nation » vide de sens. C’est par la résilience et la résistance politique des
citoyens français, solidaires de leur Armée qu’il pourrait y avoir efficacité
du dispositif, pas en déléguant la résilience et la résistance à des
professionnels des armes dont la politique est tout sauf le métier. Passe encore si cela ne coûtait rien ou presque aux contribuables. Mais c’est très loin d’être le cas. La facture va surprendre. Elle sera gastronomique. La sentinelle coûte cher. Beaucoup plus cher quand elle est au coin de votre rue que
quand elle est dans un camp ou une caserne. Et au coin de notre rue elle
s’entraîne au combat (qui est son métier) infiniment moins bien – pas du tout,
en vérité - que dans un camp ou dans une caserne. Tout le monde le sait, c’est du simple bon sens. Mais apparemment le
simple bon sens fait moins recette que « l’apartheid », cet hiver. Nous allons donc
continuer à « faire garder les fermes » par les militaires, une
politique dont on sait de mémoire – pour ceux qui en ont une – à quel point ce
fut intelligent et productif dans les débuts de ce qui se nommera « la
guerre d’Algérie ». Si l’Armée Française a eu des succès en Algérie, ce n’est
pas – toujours de mémoire – en « gardant les fermes » des grands
colons. Au contraire, les (vrais) historiens confirmeront. Mais « comparaison
n’est pas raison ». Donc surtout évitons de comparer et faisons attentivement
gardienner les lieux de culte d’une communauté A (dont nous ne dirons pas le
nom, évidemment, pour garder le secret de Polichinelle) des exactions possible
de gens issus d’une communauté B (dont nous ne dirons pas le nom non plus, même
pour économiser quelques couverts à un dîner – spectacle…). De toute façon aucune de ces deux communautés n’est
majoritaire en France, mais ce gardiennage consomme en revanche la très grande
majorité des troupes françaises (89%). Aujourd’hui, 682 sites sont protégés par des militaires dont
604 lieux communautaires. A l’avenir il est prévu 7 000 soldats pour la protection «
dans la durée » des sites confessionnels, et 3 000 autres en renfort possible.
Dixit www.lemonde.fr le 11 mars 2015. Je ne proteste pas,
et ne conteste pas le fait de protéger des victimes potentielles. Quand une victime demande (et les autorités confessionnelles
concernées se sont empressées à juste titre de le faire) la protection des
autorités françaises, même si elle n’est que 1/64.000.000.000 (ou moins de 1%
de la communauté nationale, dans le cas présent) l’Etat doit l’accorder. Je signale simplement combien cela nous coûte, et les
conséquences de l’utilisation massive de nos forces dites de 3e
catégorie en métropole dans un emploi proche de la sécurité privée. La preuve c’est que la plupart de nos casernes ne sont elles
en temps normal le plus souvent gardées… que par des sociétés de sécurité
privées ! Je tiens à le préciser, ne souhaitant pas me faire taxer -
outre ma belle mensualisation fiscale – de racisme, d’antisémitisme, ou même
d’horlogerie, car « les heures les plus sombres de notre histoire »
ne sont pas l’apanage d’une seule communauté en France. Cela consomme, et consommera, de façon considérable, nos
finances publiques. Sachons-le. C’est un peu ce qui me fait tiquer en entendant ces
martiales déclarations, comme à Marseille le 9 février 2015 où l’on a
déclamé : « C’est sur la durée que
ces batailles se remportent ». Ces grands coups de menton virils assortis de vocabulaire
militaire tactique a minima, semblent devenir une politique à long terme. C’est un peu inquiétant. D’autant plus que c’est de la navigation à (courte) vue.
Jusqu’au 11 janvier
2015 il n’était question que de réduire les Armées au minimum. Toutes les
coupes budgétaires, toutes les dissolutions, toutes les réductions d’effectifs,
c’était pour les Armées Françaises. Si on avait demandé les mêmes efforts à tout autre
ministère, il aurait été impossible à une école d’ouvrir, à un train d’arriver,
à un avion de décoller, ou à un container d’être déchargé. On l’aurait su très
vite car les journaux cessant de paraître le faire savoir aurait été la seule activité des journalistes
non-grévistes (mais solidaires) de radio et télévision. Mais réduire le nombre des militaires et leurs matériels…
C’était le credo de toute la finance, des « contrôleurs de gestion »,
et de bien des idéologues. A tel point que, comme le faisait remarquer en son temps sur
son blog « La voie de l’épée » le colonel (R) Michel GOYA, qu’à ce
rythme-là dans quelques années il n’y aurait plus assez de militaires pour
organiser un défilé le 14 juillet… Mais cela ne défrisait personne en haut
lieu. Subitement, dans l’urgence, les militaires se retrouvent
parés de toutes les vertus. Non pas qu’ils en manquent, mais jusqu’à présent ces
qualités étaient jugées de peu d’importance par rapport au prix de leurs soldes
et au renouvellement de leurs matériels. L’Association de Soutien à l’Armée Française (ASAF) l’a
souligné assez souvent pour que l’on ne puisse plus l’ignorer, mais
malheureusement sans émouvoir un seul décideur à Bercy. « La voie de
l’épée » aura été moins efficace que la rafale de Kalachnikov. En priant son auteur de bien vouloir excuser ce
rapprochement facile, force est de reconnaître que le son de l’AK-74 en plein
Paris réveille - hélas - mieux que la voix de la sagesse. On voudrait maintenant en avoir partout, des militaires,
sans parler des réservistes, étrillés depuis tant d’années… Et pour toutes
sortes de missions dont le moins que l’on puisse dire est qu’elles étaient
minoritaires ou impensables juste quelques jours avant. Quand on n’évoque pas, on y reviendra, d’autres fantasmes
comme « envoyer l’Armée dans les
cités », ou créer vite fait de toutes pièces et sans budget un
« service militaire adapté » en métropole comme il existe déjà depuis
longtemps (avec succès ET budget) outre-mer. Que reste-t-il de nos
amours ? C’est à dire le logement social, qui anime tout de même
l’essentiel des ZUS et ZSP où « l’apartheid » (on vient de le
découvrir) sévirait sévèrement, avec des croissants (et des étoiles) sur des
drapeaux aux fenêtres vus plus souvent qu’au seul petit déjeuner. Photo réelle prise et transmise par un correspondant
qui aime les croissants, les étoiles et les toiles aux fenêtres... Il y a eu un début de réponse dans « Le Figaro »
du vendredi 6 mars mais malheureusement (à mon humble avis) la
« une » se fait sur « l’effet TAUBIRA ». Je laisse à Yves THREARD la teneur de ses propos, dont je
partage tout de même une partie. Une bonne partie de son éditorial, concernant ce que je
sais, et vois, et vis, au quotidien. J’éviterai simplement d’en faire une question de personne.
Je ne tape pas sur les dames. D’ailleurs à ma connaissance, « homme – sandwich »
n’a pas de féminin, c’est un signe. Dans la double page intérieure (2 et 3, excusez du peu) il
est en effet question de Nice, même si ce n’est pas la zone la plus
représentative du logement social du département, et même si la belle photo prend
plus de place que le texte consacré aux Alpes Maritimes. Totalement focalisée sur la prochaine échéance électorale,
et après avoir eu une grosse frayeur en constatant qu’une poignée (trois hommes
armés) d’individus pouvait mettre en émoi le pays tout entier, l’élite de nos
politiciens tremble à l’idée de voir un peu de pouvoir lui échapper au profit
d’une formation politique jusqu’ici moins représentée que les autres.
On oublie au passage
différentes choses plus d’ordre judiciaire que politique. D’abord c’est
dans le monde réel que nous vivons. En vérité, la couleur de la cravate ou de la jupe du
prochain conseiller départemental importe peu à l’électeur moyen, dans une
élection cantonale ou les qualités humaines sont dominantes. Ensuite les
« terroristes » dont la noble traque mobilise tant d’effectifs
statiques sont moins bien nombreux que les tous bêtes criminels des banlieues. Le crime organisé, comme son nom l’indique, est organisé.
Les affaires sont les affaires. La revente de drogue est devenue en France une véritable
industrie, qui par parents et amis interposés implique et gangrène des
quartiers tout entiers. Il n’y a plus un dealer, mais un groupe voire une famille,
et une bonne partie de la population des alentours qui est soit complice, soit
prise en otage. Que l’on casse le trafic dans une cité et ce n’est pas une
personne que l’on ruine, mais dix, cent, mille et plus… qui ne pourrons plus
« en manger », payer leur loyer, assurer leur train de vie. « Ce sont des criminels »
oui, c’est clair, et je soutiens tous ceux qui viendront les arrêter. Mais
après ? On va arrêter tout le réseau, tous les complices ? Avons-nous
simplement assez de place dans nos prisons pour loger tant de gens ? La vraie réponse c’est non. Ce n’est même pas compatible avec la politique pénale et pénitentiaire
dans son ensemble. La politique pénale
est clairement et pathétiquement orientée vers une culture de l’excuse. La politique
pénitentiaire (je suis un incorrigible optimiste, je veux croire qu’elle
existe) est dictée par des financiers qui ont calculé le prix de revient d’un
détenu par rapport aux places existantes et par rapport au coût d’une peine de
substitution en milieu ouvert. Croyez-vous que l’idée d’étendre en 2017 les peines sans
emprisonnement à tous les condamnés à moins de 10 ans de prison soit venue au
Ministère de la Justice par humanisme ? Pas du tout. Ou alors, pour la communication officielle. En réalité c’est simplement en calculant le « parc
hôtelier » existant (et souvent vétuste) par rapport aux « bons
clients » potentiels. La Justice Française n’aura (sauf miracle) tout simplement
pas les moyens de loger physiquement la population pénale qui le mérite
derrière les barreaux avant un bon moment. Il faut construire des prisons, et cela coûte. Il faut entretenir les prisons, et cela coûte. Il faut payer les gardiens et cela coûte. Il faut nourrir et blanchir (vêtements uniquement SVP) les
détenus, et cela coûte. Cela coûte tant que le budget ne suit plus. Alors qu’un bracelet électronique en comparaison, c’est
presque « cadeau ». Un superviseur devant un écran pour X bracelets, sans stress
et sans risques physiques, c’est moins cher que les gardiens dans les miradors.
Un détenu à domicile rembourse son crédit, paie son loyer et ses charges
(enfin, en théorie) et il paie aussi sa nourriture et sa lessive. Non ce n’est pas par humanisme, sauf pour épater la galerie,
que l’on veut réduire les détentions. C’est tout simplement pour
« rentabiliser » les équipements existants. Vous avez parfaitement le droit de ne pas me croire, vous en
parlerez aux sénateurs dont j’ai les chiffres officiels puisqu’ils ont
travaillé sur ce point. J’avais publié les chiffres dans un précédent billet.
J’ai eu bien des commentaires, mais aucun qui conteste le bien-fondé de ce
rapport parlementaire. « On » a
pensé à tout. Sauf aux victimes. Sauf aux voisins. Sauf aux futures victimes… Mais ces futurs condamnés on espère bien que leur espace
ouvert restera en banlieue, en ZUS/ZSP. Ce qui est théoriquement facile en
« interdisant de séjour » le centre-ville. Théoriquement… car il
est plus dur de s’évader que de retirer un bracelet.
Enfin, le
« réservoir » se remplit en permanence. Toutes les semaines j’ai le plaisir de voir de nouvelles
têtes. Pas tibulaires, mais presque. Un grand nombre de braves gens, déracinés à tous les sens du
terme, qui essaient de survivre. Et aussi un bon paquet de tout ce que la racaille de leur
pays d’origine peut compter. Serions-nous assez stupides pour continuer éternellement à
croire que ce sont les honnêtes citoyens qui ont le plus de facilité à
migrer ? On peut effectivement, avec beaucoup de naïveté et
d’imagination retenir l’idée que ce sont les plus sympathiques, les plus
stables et les plus intelligents qui partent en premier. En vérité c’est rarement le cas. Quand vous êtes propriétaire de votre logement, ou locataire
stable, vous le quittez moins facilement que quand vous êtes l’heureux
détenteur d’une simple levée d’écrou. Quand vous avez une formation complète, une famille fondée,
avec un emploi stable, vous partez à l’aventure sur les routes moins facilement
que ceux qui n’ont « rien à perdre ». Oui, c’est assez stupide je dois le reconnaître, mais
statistiquement depuis que le monde existe ceux qui n’ont « rien à
perdre » voyagent au loin plus facilement que ceux qui ont quelque chose à
perdre. Si vous avez des doutes, l’achat d’un bon livre d’histoire
sur le peuplement de l’Australie et de certaines des plus belles provinces
américaines voire sud-américaines de la France sous l’ancien régime devrait
vous éclairer. Aurions-nous déjà oublié la Guyane ? Naturellement, officiellement, tous ces braves gens
n’arrivent chez nous que pour de nobles raisons politiques. Il y a d’ailleurs de nombreux cas ou cela est vrai. Les persécutions politiques, ethniques ou religieuses, cela
existe. La France, pays des droits de l’homme elle existe aussi,
c’est vrai. Il faut juste éviter de confondre avec le « radeau de
la Méduse ». La richesse nécessaire pour payer tous les passeurs
« honnêtes » et se faire voler par les autres, elle ne peut pas
s’obtenir de trente-six mille façons dans le tiers monde. Les vrais riches n’ont pas de vrai problème de migration. Ils ont déjà leurs billets d’avion et leur logement qui les
attend, ainsi que de nouvelles affaires à faire en France. Il en est de même des véritables grands bandits. En-dessous, c’est plus difficile. Et difficile de faire le
tri entre les pères (ou mères) de famille qui du fait de leur avis politique,
de leur race ou de leur religion ont préféré la valise au cercueil, et les
crapules qui fuient les ennuis en espérant – eux aussi – prendre un nouveau
départ. Ce n’est pas la même ligne de départ mais c’est le même
point d’arrivée. Ils ont tous très vite compris que faute de gros moyens,
arriver au centre-ville ce serait une erreur fatale. Alors ils arrivent presque tous « chez nous »… en
ZUS/ZSP.
Fin du premier
épisode. 1er
épisode mis en ligne à Nice (06000) le 14 mars 2015
La fin de cet article repose et reposera beaucoup sur
ce que vous en dites et ce que vous m’en direz. Vous m’en direz des
nouvelles. Vous pouvez aussi le
traduire si vous voulez, tant que ce n’est pas en Correctionnelle… Pour ceux qui n’ont pas mon adresse, il est possible de
passer par les commentaires de mes blogs, par la page contact de mon site www.codani.info , par Viadéo ou par LinkedIn. C’est indirect, mais cela reste assez facile. Afin de limiter le « spam » je ne place plus d’adresse
en ligne directement accessible. Avec ces sept
pages, les Sept Références (version papier et PDF) pour aller plus loin : Association de
Soutien à l’Armée Française (ASAF) pour ce qui touche aux Armées : L’Afrique réelle pour
en particulier l’Afrique du Sud et l’apartheid : http://bernardlugan.blogspot.fr/p/lafrique-reelle.html
La voie de l’épée pour
les réductions d’effectifs et les « civilisations » ministérielles : http://lavoiedelepee.blogspot.com/
ou sur Facebook :
https://fr-fr.facebook.com/LaVoieDeLepee
Le Figaro pour l’éditorial
de Monsieur Yves THREARD et les articles du 6 mars 2015 : Le Monde pour le
contenu de son édition du 11 mars 2015 sur les questions de défense : Nice-Matin pour leurs
journalistes sympathiques sur le terrain, et pour la suite… : Nice-Premium pour
ne pas avoir qu’une seule référence sur l’actualité niçoise : La version PDF de ce
document est téléchargeable en ligne sur Médiapart à cette adresse: http://www.mediapart.fr/files/Esprit.pdf Copyright (c) 2005 - 2015 Didier Codani. Tous droits réservés. |